Uruguay - Punta del Diablo

Très rapidement, dierction Punta del Diablo (Pointe du  Diable). Rien de démoniaque pourtant, nous avons loué un petit appartement que nos hôtes appellent le Paradis.







En effet, nous sommes au sommet d’une cabane qui surplombe toute la plage de la Viuda. L’air marin, le bruit des vagues, le coucher de soleil sur la mer, tout est en effet paradisiaque. Nous nous reposons donc déjà pour notre première étape de tour du monde.

Après 8 jours de déménagement, une soirée de départ arrosée, les adieux aux parents, et 14h de vol Iberia  nous l’avions bien mérité… Oui, en fait, n’en faisons pas trop : Ce n’est pas vraiment le mérite qui nous a poussé là mais plutôt une furieuse envie de revoir le soleil après ces dernières semaines glacées à Paris… Et aussi parfaire un peu notre bronzage. Inutile de préciser que nous sommes les plus blancs sur la belle plage de la Viuda del Diablo. Une petite diète s’impose aussi, mais cela ne devrait pas être trop difficile car on ne mange pas très bien ici au bord des plages. On se réserve pour les beaux steaks Bife de Lomo, Asado de Tira et autres Vacios qui nous attendent à Buenos Aires.

Pour l’instant la plage est tellement belle ici que nous avons décidé de rester un peu plus longtemps sur Punta del Diablo.

Fernando el rey del asado

Pour notre premier samedi soir, ce ne sera pas fiesta dans les boîtes de djeunes de la plage, mais asado chez nos hôtes Martha et Fernando, les propriétaires de l’appart que nous louons. Il s’agit du barbecue local, avec plein de viandes de toutes sortes : poulet, bœuf évidemment, mais aussi des trucs moins conventionnels, les « chichulines » (mieux vaut ne pas savoir exactement ce que c’est, mais en gros, c’est proche des tripes, et quelques légumes pour se donner bonne conscience ;  surtout c’est un moment convivial (repas du dimanche souvent) où tout le monde se retrouve. Tous les gens de la pension sont invités ce soir, nous retrouvons les couples suédois et argentins avec lesquels nous avions sympathisé, et c’est parti pour une soirée arrosée, qui se termine en véritable concert de Fernando à la guitare, Nico tu aurais eu de la compagnie !

La chanson de Fernando :

Cabo Polonio

Petite journée à Cabo Polonio où nous avions tout fait pour trouver un logement depuis Paris mais impossible par cette saison (équivalent du mois d’août ici). En effet, le coin est sublime, bien plus sauvage que Punta del Diablo, seules qques maisons ont l’eau courante et l’électricité.

L'album photo :
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